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Certaines séquences vous coupent le souffle parmi les reportages sportifs. C’est une des principales fiertés de notre télévision nationale. Les yeux de Raymond Marcillac, directeur des services sportifs sont vraiment partout. Ils vous permettent de vivre la course, cycliste ou automobile, comme si vous étiez dans les gradins du stade, dans la foule, sur le bord de la route, en avion.


Les yeux de Marcillac, ce sont deux caméras : l’une dite fouineuse, possède dix heures d’autonomie grâce à un équipement de batteries. Le caméraman comme un soldat en campagne est relié par radio-téléphone au réalisateur qui le guide aux bons endroits du circuit. L’autre appareil portatif est fixé sur le casque même de l’opérateur qui suit la course cycliste en side-car. Pour les  24H du Mans, une de ces caméras de tête sera portée par un coureur.

 

Pilote (juin 1962)

 

 

 

Soit au volant d’un très puissant bolide... soit assis à califourchon sur une motocyclette… Soit en hélicoptère… Les cameramen de la T.V. ont encore et toujours la caméra en tête.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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