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Le 2 mars 1969, l'avion supersonique Concorde effectuait son premiervol ; le premier vol commercial, aux couleurs d'Air France, reliant Paris à Rio de Janeiro, avait lieu 7 ans plus tard, le 21 janvier 1976. Le même jour un Concorde de la British Aiways inaugurait la liaison Londres-Brahein.

L'acte de naissance de l'avion franco-britannique (Aérospatiale et British Airacraft Corps.) avait été signé le 29 novembe 1962.

Cet avion commercial - premier avion civil supersonique - est l'avion de lgne le plus rapide du monde. D'une envergure de 25,56 m et d'une longueur de 62,17 m, il peut transporter de 100 à 139 passagers et faire décoller un pods total de 185 000 kg. son rayon d'action maximal est 6 200 km. Il fait Paris-New York en 3 h30, en volant à 18 000 m d'altitude.

Concorde a été conçu pour voler 45 000 heures. Avant que l'appareilne soit certifié, en 1975, 5 300 heures d'essai avaient été exigées dont 2 000 à vitesse spersonique. Air Francepossède 7 appareils dont5 en exploitation et l'avion le plus utilisédepuis l'ouverture du réseau supersnique totalise 11 400 heures. Il y a donc encore de la marge...

Concorde a beaucoup souffert de naître en même temps se faisait sentir les premiers effets de la crise du pétrole.

 

article publié en 1989

 

Le dernier vol eut lieu le 26 novembre 2003.

 

 

CONCORDE

 

CONCORDE

 

De gauche à droite :

 

ANDRE TURCAT - Directeur des essais en vol Sud Aviation

LUCIEN SERVANTY - Directeur des études "avions" Sud Aviation

PIERRE SATRE - Directeur technique Sud Aviation

 

journal Pilote (1965)

 

 

 

Le pilote du Concorde, André Turcat qui sera équipé de cette façon pour les vols en haute altitude. (juin 1969)

 

 

 

 

photo publiée dans le Journal de Mickey (1976)

 

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le Tupolev 144

 

TUPOLEV ET CONCORDE

 

Le dernier jour de l'année 1968, l'avion commercial supersonique Tupolev-144 effectuait à partir de l'aéroport de Moscou, un premier vol d'essai de trente-huit minutes, s'adjugeant de la sorte une avance de quelques semaines sur le Concorde, son rival franco-britannique. A ce propos, toute la presse occidentale a souligné les nombreuses similitudes qui existent entre ces deux géants de l'air : même matériau de construction, même aile-delta, même nez basculant, même autonomie de 6.500 kilomètres, même vitesse de mach 2,2 au plafond de 20.000 mètres. Seule différence de structure : Concorde  loge ses réacteurs sous ses ailes, alors que ceux du Tupolev-144 prennent place sous le fuselage.

 

A tant de coïncidences que nous signale le quotidien  Le Monde, il faut reconnaître et souligner le plein succès de l'opération "Bulle d'air" menée en France et en Grande-Bretagne par la section industrielle des services d'espionnage soviétiques. Effectivement, en mars 1965, le contre-espionnage français arrêtait à Toulouse, où se montait le prototype français du Concorde, un ressortissant est-allemand, nommé Herbert Steinbrecher, qui ne fit aucune difficulté pour confesser qu'il avait reçu pour mission de se procurer les procédés de fabrication du géant supersonique franco-britannique. Il faut croire que le Kremlin avait mal cloisonné son affaire, puisque les aveux de l'agent Steinbrecher permirent au contre-espionnage britannique d'appréhender à Bristol les traîtres Godfrey Conway et Alfred Kenneth qui, jusque-là, opéraient en toute quiétude dans les services photographiques de la British Aircraft Corporation. Enfin, on identifia le manipulateur de ce malpropre trio en la personne de l'ancien colonel Serge Pavlov, représentant général pour la France de la compagnie aérienne soviétique Aéroflot, lequel, on ne sait pourquoi, fut simplement expulsé, au lieu de partager la prison de son subordonné Steinbrecher. Ainsi fut démantelé le réseau "Bulle d'air". C'était toutefois, comme dit  le proverbe américain, refermer la barrière après que les chevaux se sont enfuis, car, au moment où l'espion Pavlov prenait l'avion de Moscou, il y avait belle lurette qu'enfermés dans d'innocents tubes de pâte dentifrice, ainsi que l'a révélé l'enquête, les microfilms pris sur les bleus du Concorde à Toulouse et Bristol, avaient pris la même direction.


A l'heure qu'il est, il est difficile de prévoir dans quelle mesure les ailes anglaises et françaises pâtiront du fait de cette opération d'espionnage soviétique. On souhaiterait, dans tous les cas, qu'elle serve de leçon et d'avertissement à ceux de nos compatriotes qui dans les rangs de l'administration et dans certains milieux d'affaires et d'industrie nous recommandent d'intensifier nos échanges avec le bloc de l'Est.


Eddy Baueur – publication dans un quotidien suisse (janvier 1969)

 

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Accident de Gonesse

 

Le 25 juillet 2000, le F-BTSC du vol 4590 Air France, vol charter à destination de New York, avec des passagers de nationalité allemande, décolle de l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle puis s'écrase deux minutes plus tard sur un hôtel à la Patte-d'Oie de Gonesse, provoquant la mort de 113 personnes : cent passagers, neuf membres d'équipage et quatre personnes au sol.

 

 

 

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En 1946, dans le journal Tintin

 

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