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DU NOUVEAU POUR LES MECANOS

 

Pour un certain nombre de réparations ou vérifications, les mécanos devaient jusqu’à présent se glisser en rampant sous les voitures ou placer celles-ci  au-dessus d’une fosse, ou encore les  élever sur une de ces plates-formes hydrauliques qu’on voit dans les stations de graissage.
Mais un ingénieur de Hambourg a conçu un levier spécial qui permet de travailler commodément sur le fond d’une voiture, au grand jour et sans installations coûteuses. Ce levier peut être manœuvré par un seul homme. Il maintient la voiture dans une position assez inattendue et inquiétante à première vue. Mais n’ayez crainte, elle ne risque aucunement de se retrouver sur le toit !

 

journal Tintin - 1954

 

 

 

FORD CREE UNE VOITURE – MIRACLE

 

 Voici la dernière création Ford : l’ATMOS-FX qui fait pendant au fameux SABRE de la General Motors. L’ATMOS est un prototype (donc qu’on ne verra pas au coin de la rue !). Ses principales caractéristiques sont : 5,60 m de long, 2,02 de large et 1,22 m de haut. Le volant est remplacé par des poignées. La carrosserie est en plastique. Le siège du chauffeur se trouve au milieu de la voiture.

 

journal Tintin - 1954

 

 

 

LA COURSE DES TACOTS


Chaque année, les Anglais, fort amateurs de "chères vielles choses", s’amusent à disputer une course automobile originale et pittoresque : la célèbre course London-Brighton où s’affrontent les plus véritables antiquités. Cette compétition, à la fois passionnée et humoristique, recueille toujours un grand succès. On voit ici un des concurrents en panne (déjà !) sur le pont de Westminster, quelques minutes après le départ.

 

journal Tintin - 1956

 

 

 

RESPECT DE LA SIGNALISATION !


N’est-elle pas pleine d’humour la photo que voici ? "Ni vitesse, ni bruit" ! Elle est bien bonne !... Mais pendant un grand prix, les gendarmes ne se risquent pas sur la chaussée !

 

journal Tintin - 1956 (l'article ne le précise pas, mais il doit s'agir du Grand Prix de Monaco)

 

 

 

TRAQUÉ


Sur la photo on distingue les caméras jumelées et le flash électronique qui sont prêts à enregistre les infractions. L’une des caméras prend une vue panoramique, comprenant les différentes phases de l’infraction commise, l’endroit du délit (virage, côte, croisement et, le cas échéant, le panneau de signalisation non respecté par l’automobiliste : interdiction de doubler, stop, etc…). L’autre, munie d’un téléobjectif, photographie la plaque minéralogique de la voiture coupable, et, en cas d’excès de vitesse, les indications figurant sur le compteur de vitesse de la voiture de police qui roule à la même allure que le véhicule en infraction.

 

adapté du journal Tintin - 1957

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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