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PAS D'OMELETTE S.V.P.

 

Une course originale et cocasse s’est déroulée à Copenhague. Elle était réservée aux dames. Il fallait, en l’occurrence, ne pas casser d’œufs. Et ce n’était pas si facile, puisque l’on devait accomplir un certain parcours sur un scooter en tenant entre ses dents une cuiller dans laquelle reposait un œuf. Les spectateurs étaient nombreux et hilares !

 

journal Tintin - 1955

 

 

 

DES COURSES DE CAFARDS… A PARIS


Les Parisiens, après s’être engoués pour le Yo-Yo, se passionnent pour les courses… de cafards. Un cafarodrome s’est installé en plein boulevard Montparnasse et les joueurs ne manquent pas. Moyennant deux francs, les joueurs misent sur un des cafards partants. Ceux-ci sont insérés dans des sortes d’éprouvettes en verre, pour être présentés au public. Puis, ils sont placés dans des rainures séparées et on donne le départ. Le premier arrivé rapporte un lot quelconque aux parieurs qui ont misé sur lui.

 

presse 1932

 

 

 

COURSE A LA TASSE DE THE

 

La Course de la tasse de thé est bien un des sports féminins des plus gracieux qu’on ait inventé. Montées sur leurs bicyclettes, les concurrentes doivent saisir au passage une tasse avec sa soucoupe placée sur une planchette au sommet d'un poteau. La tasse est pleine de thé et il s’agit de la vider (mais non sur l’herbe) sans perdre une goutte de thé et sans arrêter la bécane, ou aller offrir la tasse à l’un des assistants.

 

presse 1907

 

 

 

COURSE DES SERVANTES DE SALONS DE THE

 

Les servantes sont chargées de leurs plateaux et accessoires : tasses et soucoupes ont à subir les risques de la vitesse.

 

presse 1929

 

 

 

 

COURSE DE BROUETTES

 

Dijon a vu se dérouler au milieu d'un grand concours de spectateurs, une course originale : celle des cantonniers. Quatorze concurrents s'alignèrent au départ dans la cour de la gare de Dijon-Ville. Sur un parcours de 4 km 500, les cantonniers , poussant leur brouette, eurent à prendre, à trois contrôles, des chargements de pavés. C'est Fernand Ruellé, de Dijon, qui remporta l'épreuve en 23' 35". Il eut les félicitations di chanoine Kir, maire de Dijoon, et du baiser de mlle Hamstatter, la charmante de Goujon-Parc.

 

presse 1952

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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